O-Töne

O-Töne Nicolas Bolens 
«Au niveau des esthétiques, on arrivait quand-même à se mettre d’accord, au niveau du fonctionnement du comité, moi, j’avais une difficulté, c’est que la Romandie était vraiment trop faible par rapport à l’Alémanique. Donc ça, c’était au niveau des cultures. Souvent, dans le comité, je me retrouvais seul Romand. Il y avait une deuxième personne mais qui ne venait souvent parce qu’il était moins impliqué.»

«Les positions pouvaient être très différentes, mais c'est aussi un apprentissage du respect. […] Il me semble qu’on faisait en sorte que chacun s’y retrouve. Question d’équilibre ? […] Les manières de penser. Les manières de travailler ne sont pas forcément les mêmes que ça nous obligeait à un dialogue entre des.... J’ai presque envie de dire des rencontres culturelles, même au sein du même pays. Il y a des rencontres culturelles, des chocs culturels que ce c’étaient ces fêtes que l’ASM permettait. Et je trouve ça important pour une cohésion nationale. […] Ça fait des moments de dialogue, de rencontres.» (Nicolas Bolens, STV-Präsident, im Gespräch mit Thomas Gartmann, online, 14.6.2022).